Caractère inhabituel et peut-être déséquilibré, Comte avait un caractère de début de carrière. terized par la brillance académique ponctuée d’événements dans lesquels il est devenu étudiant rebelle, malade mental et suicide manqué. De son vivant, il n’a jamais occupé un poste de profes- lieu de culte dans une université, malgré l’intervention utile de ses amis en son nom, parmi eux, J.S. Moulin. Néanmoins, ce philosophe français est devenu le post- héros humble du mouvement positiviste du XXe siècle et source d’inspiration pour la tendance «scientisme» (le point de vue selon lequel la science est, selon les termes immortels de Quine, « L’arbitre final de la vérité »). Comte était aussi le fondateur de la sociologie, familiers aux étudiants en sociologie du monde entier, et le premier à appliquer les méthodes de la science à l’étude des hommes et de la société. Son travail le plus important dans lequel ces cours sur la philosophie positive, sera plus tard contredite par son des idées plus matures mais romantiques qui ont essayé de trouver une place pour religieux sentiment dans un monde laïque. Dans ses premiers travaux, Comte soutenait que les spéculations théologiques et métaphysiques devrait être abandonné au profit d’une commande rigoureuse d’observations confirmables cela seul devrait constituer le domaine de la connaissance humaine. La commande de «posi- «science scientifique» commence par les mathématiques et progresse à des degrés de complexité à travers l’astronomie, la physique, la chimie et la biologie. Après la biologie vient le nouveau sociologie, qui est l’étude de la « statique et de la dynamique » (termes définis par ramé de l’ingénierie) de la société. La statique, la science des forces en équilibre, comme appliquée aux phénomènes sociaux, donne à penser qu’aucune partie du «contexte social» sensus ’peut être remanié sans toucher radicalement le tout. En conséquence, Comte insiste sur le fait que les conditions économiques, culturelles et sociales s’affectent mutuellement l’état des connaissances dans chaque domaine. En dynamique, la science du changement, le développement Le développement de la société reflète le développement de progrès intellectuel. Ainsi, selon Comte, tout comme les connaissances historiques ont commencé avec la théologie et la métaphysique avant d’arriver au positivisme, de sorte que les ordres sociaux ont progressivement évolué théocratie, la monarchie, l’anarchie et sont arrivés ou devaient arriver à arriver à La vision de Comte, un nouvel ordre social dirigé par la science. Comte se déclara fondateur de la sociologie et trouva posthume reconnaissance parmi les positivistes du XXe siècle. C’est la mise au point détaillée de cette dernière étape de l’ordre social qui a conduit Comte adoucit ses vues précédentes. Il professe une nouvelle «religion de l’humanité», en dont il reconnaît le rôle social important et cohérent joué par les religieux et les croyances idéologiques. En professant cette nouvelle « religion », cependant, Comte envisage lui-même en tant que grand prêtre d’un nouveau culte. Sans surprise, on a généralement l’impression qu’au moins ce point Comte était passé de la vision objective détachée de l’épistémologie, qui avait informé ses travaux antérieurs, dans le royaume de l’absurde. En essayant d’expliquer les derniers écrits de Comte, les commentateurs ont cité son implication. avec Mme Clotilde de Vaux, qui, de son propre aveu, a apparemment enseigné l’importance de «subordonner l’intellect au cœur». Dans ses écrits ultérieurs, comme le Catéchisme de la religion positive, Comte laisse place à une moralité qu’il voit implicite dans l’effort scientifique lui-même. La vérité révélée par la science maintient l’humilité de l’homme et impose une loi ou une justice naturaliste. Faisant écho Hume, Comte, affirme maintenant que l’intellect devrait être et non l’esclave du passé. Sions, mais le serviteur du coeur. Inutile de dire que c’est plus tôt que des écrits postérieurs que Comte a exercé sa plus grande influence.